D’abord il y eut les intentions et les actes. Faire partir les enfants en vacances.
Permettre la découverte : de l’autre, des autres, de l’ailleurs, d’activités culturelles,
sportives... à l’occasion des congés scolaires. On connaît l’histoire, c’est ce que l’on appelait les patronages,
les colonies de vacances... les ancêtres des ACM d’aujourd’hui. En se retournant sur cette histoire, des observateurs ont
qualifié d’animation volontaire l’engagement des acteurs pour dire les faits mais aussi le projet. Un engagement, un enthousiasme
mis au service d’un projet d’Éducation populaire. Un engagement librement consenti, rendu possible et reconnu par
une indemnité. Dans un champ de l’animation profondément renouvelé par le fait professionnel, chamboulé par
le développement des accueils périscolaires, il y a nécessité à re-penser et instituer le cadre. Pour ne pas confondre
engagement occasionnel et précarité, pour distinguer formation pour un engagement et reconnaissance
professionnelle. Pour permettre l’engagement et l’initiative sociale.
Le volontariat est
un mode de participation
original. Dans ce cadre,
s’occuper d’enfants
en collectivité, lors
de temps de loisirs
et de vacances est
une expérience
précieuse, pour
la construction
du sens collectif.
La pêche à pied est
parfois questionnée
quant à son impact
sur le milieu. Mais pour quelles
alternatives ?
La découverte
du vivant est-elle
plus pertinente par
des livres ? Autant de
questions prétextes pour
revisiter une activité
traditionnelle
de la découverte
du milieu.
Bidon, pneu, chambre
à air, palette... sont
des matériaux intermédiaires
destinés à
contenir, transporter. Le cahier central
témoigne
de possibles
réutilisations
pour fabriquer
des éléments
de mobilier.